Il y a des couvertures qui sentent l’encre et la nostalgie, des pages qu’on tourne comme on ouvrirait un coffre aux souvenirs. Dans ce coffre, il y a un canard milliardaire, un oncle grincheux et génial, et tout un monde né sous le crayon de Carl Barks. Depuis plus de 50 ans, Picsou Magazine continue d’enchanter les curieux, les rêveurs et les chasseurs de trésors – petits et grands confondus.

En mars 1972, la France découvre un canard plus riche, plus râleur et bien plus futé que tous les autres : Balthazar Picsou. Sous la houlette de la rédaction de Disney Hachette Presse, Picsou Magazine devient très vite une porte d’entrée vers Donaldville, cette cité imaginaire où l’argent, la chance et l’humour font loi.

Né de l’imagination de Carl Barks, l’univers des canards puise ses racines dans la BD américaine et dans les récits italiens pleins de fantaisie. Chaque numéro mêle aventure, autodérision et sens du détail, un mélange qui fera de Picsou Magazine une référence pour les lecteurs comme pour les collectionneurs.

Derrière les gags et les trésors enfouis, il y a une véritable école de la curiosité. Le magazine Picsou initie à la lecture, à la culture, au plaisir d’apprendre en riant. C’est sans doute pour cela qu’il rassemble encore, un demi-siècle plus tard, des générations de lecteurs — des enfants de huit ans aux adultes nostalgiques qui n’ont jamais cessé d’aimer les histoires à plumes et à malice.

S’il fallait résumer Picsou Magazine en trois mots, ce serait sans doute : aventure, rire et curiosité. Chaque numéro est une plongée dans un univers foisonnant où la bande dessinée dialogue avec la culture pop, les sciences, le sport ou les jeux vidéo.

Les BD cultes et inédites

Dans les pages de Picsou Magazine, on retrouve tout ce qui fait battre le cœur des fans de Donaldville. Bien sûr, il y a le grand Donald, râleur professionnel et poissard légendaire, toujours prêt à défier la chance de son oncle. Il y a aussi Riri, Fifi et Loulou, esprits vifs et intrépides, qui ont plus d’un tour dans leur sac pour sauver la mise quand les plans de leur oncle tournent à la catastrophe. Sans oublier Gontran Bonheur, Miss Tick, les Rapetou et tout un tas de personnages hauts en couleur qui donnent à chaque histoire son grain de folie.

Entre un plongeon dans le coffre-fort et une chasse au trésor improbable, ces BD signées par les plus grands auteurs de Disney mêlent action, humour et émotion.

Une ouverture sur la pop culture

Mais Picsou Magazine ne vit pas que de souvenirs : il sait aussi parler du monde d’aujourd’hui. Entre deux aventures, la rédaction s’amuse à explorer ce qui fait vibrer les jeunes lecteurs : cinéma, musique, mangas, sport, science ou jeux vidéo…

Un dossier sur les super-héros peut côtoyer une interview de youtubeur, une anecdote scientifique peut déboucher sur une leçon d’humour façon Donald. Le résultat ? Un magazine vivant, curieux et moderne, où chaque page réserve une surprise.

S’il continue de passionner les lecteurs depuis plus de 50 ans, Picsou Magazine le doit aussi à ses auteurs. Trois noms, trois styles, une même passion pour les canards de Donaldville.

Carl Barks, le créateur de l’univers Duckburg

Sans lui, pas de coffre-fort, pas de pièces d’or, pas de Donald grincheux ni de neveux débrouillards. Carl Barks, c’est celui qui a posé les premières briques de Donaldville. A travers ses 660 histoires, il a créé Picsou, Miss Tick, les Rapetou ou encore Géo Trouvetou, donnant à chacun un rôle bien précis dans ce grand cirque à plumes. Son sens du rythme, de l’ironie et du détail a marqué la culture populaire, comme Indiana Jones et Les Simpson. Récompensé par les prix Will Eisner et Jack Kirby, Barks a prouvé qu’on pouvait raconter de grandes choses avec un canard milliardaire et un bon sens de l’humour.

Don Rosa, le successeur légendaire

Don Rosa, c’est le passionné qui a repris le flambeau, et le digne héritier du maître Barks. Passionné par son univers, il lui a donné une profondeur nouvelle avec La Jeunesse de Picsou, fresque qui raconte la vie du canard le plus riche du monde, de son enfance écossaise à son empire de pièces d’or. Là où Barks semait des gags et de la tendresse, Rosa ajoute une profondeur historique, une précision quasi documentaire et une dose d’émotions.

William Van Horn, le comique et inventif

Moins connu du grand public, William Van Horn est pourtant une figure incontournable. Son style, plus cartoon et excentrique, insuffle à Picsou Magazine une fantaisie irrésistible. Avec lui, Donald et ses neveux deviennent les héros d’histoires aussi absurdes que touchantes. Il est à l’origine de personnages secondaires comme Rumpus McFowl, le demi-frère de Picsou, preuve que l’univers continue de s’enrichir. Avec son dessin expressif et son humour décalé, il redonne du peps aux personnages tout en gardant l’esprit Barksien.

S’abonner à Picsou Magazine, c’est comme retrouver un vieil album de famille : chaque page raconte une époque, chaque gag fait remonter un souvenir. Avec France Abonnements, plus besoin de courir au kiosque — chaque numéro arrive chez vous, prêt à être lu, relu et collectionné. Choisissez la formule papier ou numérique puis souscrivez l’abonnement pour 12 mois d’aventures. Grâce à des tarifs préférentiels et à un abonnement Picsou Magazine pas cher, vous voyagez à Donaldville sans vous ruiner !

Né dans les années 1970, à une époque où chaque numéro cachait un gadget plus ou moins improbable, il faisait déjà rêver les lecteurs : montres farfelues, mini-jeux, faux billets ou pièces à l’effigie du célèbre canard. Des trésors d’enfance devenus objets de collection pour toute une génération.

Avec le temps, le magazine a troqué les gadgets contre des bonus plus durables — affiches, cartes ou stickers — sans renoncer à l’esprit Donald. En 2019, la refonte marque un tournant : adieu le plastique, place à des surprises 100 % papier et à un format enrichi, pensé pour durer.

Mais derrière ces changements, le cœur du magazine n’a jamais bougé. Entre deux BD signées de Carl Barks, Don Rosa ou William Van Horn, on retrouve la même malice, le même humour et cette façon bien à lui de faire rire tout en racontant le monde. Picsou Magazine reste fidèle à ce qu’il a toujours été : un rendez-vous d’aventure et de curiosité, à collectionner sans modération.

📖Et pour prolonger les aventures de Donaldville, les lecteurs retrouvent aussi Le Journal de Mickey, autre grand classique de l’univers Disney.

Voici les réponses aux questions les plus posées sur l’abonnement à Picsou Magazine.

Quand paraît le magazine Picsou ?

C’est un magazine bimestriel. Tous les deux mois, il propose près de 300 pages d’histoires, d’actualités et de jeux, livrées directement chez vous grâce à votre abonnement à Picsou Magazine.

Picsou Magazine s’adresse-t-il uniquement aux enfants ?

Pas du tout. Le cœur de cible reste les 8-14 ans, mais le magazine parle aussi aux adultes nostalgiques. Beaucoup y retrouvent l’esprit et l’humour des BD de leur enfance, signées Carl Barks ou Don Rosa. Il n’y a pas d’âge, ni de limite, pour consommer Picsou Magazine !

Les cadeaux dans Picsou Magazine sont-ils toujours présents ?

Oui, mais ils ont changé de forme. Exit les gadgets en plastique : place à des surprises 100 % papier comme des affiches, cartes ou stickers à collectionner.

Peut-on offrir un abonnement à Picsou Magazine ?

Bien sûr. France Abonnements propose des formules simples pour faire découvrir Picsou Magazine à un enfant, un ado ou un adulte fan de Disney. Une idée cadeau aussi drôle que nostalgique.

Quelle différence entre Picsou Magazine et Super Picsou Géant ?

Picsou Magazine mêle BD, culture pop et actualités. Super Picsou Géant, lui, se concentre à 100 % sur les bandes dessinées. Ensemble, ils forment le duo parfait pour tout fan de Donaldville.

Le magazine Picsou est-il un bon choix pour une collection Disney ?

Oui ! Chaque numéro regorge d’histoires emblématiques, d’auteurs cultes et de bonus à conserver. C’est souvent par Picsou Magazine qu’on commence une collection digne du coffre-fort de Balthazar.